de vous à moi

Tu n’as pas réussi ton CAP, ton BAC ou tu as perdu ton job…quelle importance !
La vie professionnelle ne s’arrête pas à un bout de papier, à un diplôme, ou à une expérience non réussie..!

Crois en toi ! Agis, ose faire et ne te préoccupe pas des carcans qui emprisonnent dans ce que l’on appelle “l’échec” ou le “jugement”.

Ose, compose, décompose, remet l’ouvrage de ta vie 100 fois, mille fois sur l’établi…

MON  PARCOURS EN
QUELQUES MOTS

Explore tes passions, découvre les chemins de tes envies, de ta propre réalisation, reste curieux de toi et des autres… Investis toi dans l’impossible (impossible n’est pas français), combat le “t’es pas capable” ou “tu es un bon à rien”… Remonte tes manches, fonce et prends les rênes de ta vie et retrouve de la confiance en toi !

J‘ai été qualifié, peut-être comme toi, de bon à rien, de partisan du moindre effort et de plusieurs fois de “cassosse”, d’assisté et de tu n’y arriveras jamais !

J’ai été comme toi plusieurs fois dans “l’échec”.

En France malheureusement, l’échec est synonyme de “t’es nul”. Alors que dans certains pays, il est synonyme de force, d’expérience et de niaque.

Si tu prends conscience, de cette force de “l’échec”, de l’expérience acquise et qu’il te reste tout même cette niaque d’y arriver, de te dépasser et de faire, tout en gardant un savoir être, alors tu verras que le début de chemin qui te semblait boueux, glissant, se transformera en chemin stable et lumineux.

Donnetoi les moyens, entoure toi des bonnes personnes qui te tire vers le haut…

N’oublie pas que certains ont commencé dans leur petit garage ou leur chambre d’étudiant à développer par exemple : internet, Apple, Facebook ou Hautetensionmotorcycles…

Aujourd’hui, à presque 50 ans, après cette prise de conscience et de confiance en moi, la presse me qualifie de “sens de l’unique”, de “sorcier moderne dont on aime croiser la route”…

Pour revenir sur mon parcours scolaire, au départ, j’étais plutôt assidu mais la vie ne m’a pas gâtée pour suivre un cursus long. En entrant chez les Compagnons du Devoir à 14 ans en ferronnerie, j’ai suivi leur enseignement jusqu’à mes 18 ans.

Puis j’ai échoué : au décès de ma maman, le jour de mes 18 ans, je me suis retrouvé “soutien de famille” avec trois frères plus jeunes que moi à charge. J’ai donc été obligé d’aller travailler dans un autre domaine pour nourrir cette fratrie, contraint d’abandonner pendant un certain temps mon amour du métal … Une amie de la famille m’a fait alors entrer dans les laboratoires Kodak.

5 ans et demi plus tard, dernier embauché, premier licencié, le laboratoire de Sevran (93) fermait ses portes. J’ai négocié mon licenciement en allant suivre des cours de photographie dans la prestigieuse école Louis Lumière.

Sortant avec un B.T.S de cette école, j’ai fait mon premier crédit pour m’équiper en appareils photos argentiques bien sûr ! Puis pendant 1 an j’ai fait des piges journalistiques et dès que j’ai eu ma carte de presse, j’ai taillé la route.

J’ai travaillé pour Sipa-presse et j’ai couvert plusieurs conflits comme correspondant de guerres (ex Yougoslavie, Algérie et pour finir le Bénin).

Alors tu vas me dire :
50 ans après c’est long !… Moi je veux réussir maintenant !
Et je te répondrai :
On a rien sans rien, et Rome ne s’est pas faite en un jour !

Oui ça n’a pas été facile et oui j’y ai laissé plusieurs fois des plumes ! Plusieurs fois j’ai touché le fond…mais quand tu as touché le fond, tu ne peux pas aller plus bas ! Il ne te reste alors que deux solutions, soit tu tapes du pied pour remonter, soit tu reposes au fond et tu disparais ! Détaches-toi de ce qui brille et choisis plutôt de durer. Ne lâche rien.

mes soutiens

Mes soutiens, j’en ai eu de toutes sortes ! Mais je crois que ce qui a fait que j’en ai reçu et en reçoit encore aujourd’hui, vient de mon éducation et de ma persévérance. Dès le départ, il faut être quelqu’un de bien, qui en veut et qui est prêt à s’investir coûte que coûte ! En gros, aide toi et le ciel t’aidera, enfin l’univers ! Et oui je suis un peu mystique mais je crois aux forces de l’univers, le bon attire le bon…



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