de vous à moi

On naît tous bon dans quelque chose. Le plus important est de découvrir ce pourquoi on est fait ! Quand on trouve sa passion, premièrement on est bon et deuxièmement on prend du plaisir. À vous de jouer !

MON  PARCOURS EN
QUELQUES MOTS

Véritable passionné de boulangerie, je me suis lancé dans l’entrepreneuriat avec la création de la marque Mamatte, qui propose bien plus qu’une boulangerie, mais de véritables lieux de vie et d’envies sur notre territoire.

C’est un peu par hasard et sans conviction que je suis rentré dans l’apprentissage de la boulangerie à l’âge de 15 ans.

Ce que j’ai de suite aimé, c’est le plaisir procuré aux personnes qui achetaient mes produits. J’ai donc compris très vite, que le “faire plaisir” allait être notre ligne conductrice et ce, pour toujours.

Un autre élément déterminant réside dans le fait que j’aime les gens. Je suis convaincu qu’aimer les gens, et faire plaisir, sont deux conditions indispensables pour être un bon commerçant.



Très jeune, je me suis installé à mon compte et j’ai commencé par vendre du pain sur les marchés. Je fabriquais la nuit dans un fournil et je partais au petit matin vendre ma production. Le plaisir de partager un moment avec mes clients, et d’entendre leurs retours me faisait vite oublier mes 17 heures de travail quotidien.

L’esprit d’entreprendre m’a rapidement passionné. J’étais et je suis fasciné par la création d’organisations. J’ai toujours aimé fédérer des hommes et des femmes autour d’un projet commun. 

La passion du produit est venue un peu plus tard, par des rencontres et grâce à la curiosité. Je dois beaucoup aux personnes que je nomme “les grands hommes de ma vie”.

C’est pourquoi, j’ai lancé MAMATTE en franchise. Une enseigne qui correspond à ce que je suis, partagée sur un socle de valeurs communes.



Pour revenir sur mon parcours scolaire, cela s’est plutôt mal passé. À partir du collège, je ne rentrais plus dans le moule de l’école. J’ai été harcelé pendant quelques années.

J’ai commencé à 15 ans un apprentissage en boulangerie (une voix de garage à l’époque…). Puis j’ai eu la chance de rencontrer, ce que j’appelle aujourd’hui,” les grands hommes de ma vie”. L’apprentissage a été une chance. À 15 ans le maître d’apprentissage vous forme au métier bien sûr, mais pour moi, ils ont été bien plus que ça. Ils m’ont servi de figure paternelle, et en quelque sorte, ont peaufiné mon éducation par le travail. 

Ensuite, par le travail et l’envie de m’élever socialement, j’ai suivi mon parcours avec un esprit de revanche sur la vie. 

J’aime sortir, j’adore rencontrer des gens et j’aimerais voyager un peu plus afin de découvrir d’autres cultures. 



mes soutiens

J’apprends tous les jours à me connaître et à identifier mes lacunes. Ensuite, je cherche à m’entourer des personnes qui vont me faire progresser. Dans mon parcours je dirais donc “les grands hommes de ma vie” puis des structures comme le CJD ainsi que le Leaders Club.

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